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Female soldier – CH 77 – Festival de l’école ( Partie 2 )

pizzlfc Par Le 21/02/2023 à 18:30

Dans Female soldier ( The Female Soldier Has Been Told to Infiltrate the Imperial Magic Academy )

Female soldier – CH 77 – Festival de l’école ( Partie 2 )

 

 

 

 

 

 



Traducteur : Pizzlfc

 

 

 

Victor : "Wow..."

Ducard : "Hmm. Donc c'est à ça que ressemble le bâtiment de l'école."

Bonalt : "C'est splendide."
 


Tous les trois avaient passé le contrôle corporel et portaient des bracelets comme autorisation d'entrée. Ils se tiennent devant les bâtiments scolaires. C'était la première fois qu'ils voyaient le bâtiment. Le portail d'entrée était décoré d'étoiles en accord avec leur thème, la Voie lactée. Les visiteurs ont regardé autour d'eux avec curiosité lorsqu'ils ont franchi le portail.
 


"Je n'aurais jamais pensé avoir la chance de pénétrer un jour dans cet endroit", dit Victor avec émotion.

Bonalt émet un rire sec. "Même un aristocrate comme toi dis des choses pareilles ?" Il ne se sentait pas à sa place, là, parmi les aristocrates et les riches marchands.

"Allons. Nous devrions profiter de cette rare opportunité. Allons voir Leader !" Ducard continua à marcher, l'air indifférent. Il prit un pamphlet et chercha l'emplacement.

Ducard : "Leader est en 2ème année Classe A, non ?"

Bonalt : "Oui."

Ducard : "Alors, nous devrions aller par là."
 


Il a confirmé l'emplacement et a passé le pamphlet à Bonalt. Il leur a montré le chemin avec confiance.
 


Bonalt : "Attendez. Pourquoi ne pas marcher lentement ?"

Ducard : "Nous aurons beaucoup de temps plus tard après avoir vu Leader."

Victor : "Je suis d'accord."

Bonalt : "...."

Bonalt tricote ses sourcils en regardant Victor marcher à côté de Ducard. Il les suivait tout en lisant la brochure. "Il semble qu'ils aient un certain nombre de programmes. Pourquoi n'irions-nous pas voir le spectacle plus tard ? Hmm, la classe de Leader fait..."

Il a lu la liste des programmes et était confus quand il l'a trouvée. "Café Hitsuji (TN : mouton ) ?" Il savait ce que café signifiait mais n'était pas sûr du mot 'hitsuji'.

Ducard : "Ça doit être ici, non ?"

Victor : "Ça y ressemble."
 


Ducard et Victor se sont tenus devant la classe, laissant Bonalt derrière eux. L'extérieur de la classe était décoré d'images de prairies vertes et de cieux bleus. Il y avait des matières blanches duveteuses qui ressemblaient à des nuages flottant au dessus grâce à la magie.
 


Victor : "Pensez-vous que Lea- Razé-sa....n est là ?"

Ducard : "Je ne sais pas. Tu veux y aller ?"

Les trois gars se tenaient à l'entrée couverte par les nuages duveteux. Une étudiante les a vus et a demandé maladroitement : "Voulez-vous vous asseoir et vous détendre sur des nuages qui sont aussi duveteux que des moutons ?"

Bonalt et Ducard regardèrent la fille en tenue de soubrette bleu clair et trouvèrent qu'elle leur semblait familière. Ducard a déjà mémorisé les visages des personnes qui étaient proches de Razé lors du tournoi précédent. "Oh. N'es-tu pas une amie de Razé-san ?"

Folia fut surprise d'entendre ce nom. "Huh ! Tu connais Razé-chan ? Je m'appelle Folia. Je suis une bonne amie de Razé. Elle n'est pas là pour le moment. Elle est en train de faire une tâche pour le comité d’organisation. Elle commencera à travailler ici à 14 heures." Folia était un peu contrariée que les amis de Razé n'aient pas pu la rencontrer.

Ducard : "Alors elle n'est pas là ?"

Folia : "Oui..."
 


À ce moment-là, la porte de la classe s'est ouverte de l'intérieur. Luca est sorti portant une queue de pie comme un majordome.
 


Luca : "Qu'est-ce qui ne va pas ?"

Folia : "Ah, Luca-kun. Ils sont ici pour Razé-chan."

Luca : "Pour Granoli ?"



Luca se tenait à côté de Folia et saluait les trois hommes.
 


Luca : "Razé est en patrouille."

Bonalt : "Je vois. Merci de nous avoir prévenus. Nous reviendrons plus tard."
 


Tous les trois ont quitté la salle de classe.
 


Ducard : "2 heures. Nous avons encore beaucoup de temps."

Bonalt : "On risque de tomber sur Leader si on se promène."

Victor : "C'est possible."
 


Ils ont donc décidé tous les trois de faire le tour du bâtiment de l'école.
 


Victor : "En fait, j'ai déjà postulé à Centrior et j'ai échoué."
 


Bonalt et Ducard ont été choqués par ses propos désinvoltes.
 


Ducard : "Je ne le savais pas."

Bonalt : "Tu aimes vraiment surprendre les autres."

Victor a haussé les épaules. "J'ai pensé à m'engager dans l'armée parce que j'ai échoué à l'examen. En regardant ma situation, je me suis dit que je devais changer d’objectif. Mais quand j'ai rejoint l'armée, j'ai été surpris de découvrir qu'il y avait là une personne extraordinaire."

Ducard : "Et cette personne étonnante est devenue une étudiante boursière à Centrior."

Victor a poussé un soupir. "Leader est vraiment incroyable. Je la respecte totalement. D'une certaine manière, cette personne est assez terrifiante." Il pensait que l'envie qu'il ressentait avait débordé et que c'était plutôt un sentiment de révérence.

À ce moment-là, Bonalt a remarqué quelque chose et a arrêté ses pieds. "Elle est là."

Les deux autres hommes ont suivi sa ligne de mire. " !!!" Victor retint son souffle et écarquilla les yeux en voyant son supérieur qui lui manquait en uniforme scolaire.

"Hmm. Il n'a pas fallu longtemps pour la trouver", dit calmement Ducard. Il a poussé Victor en disant : "Allons la saluer."

Cependant, Victor a tourné les talons et a essayé de s'enfuir. "Ah. C'est bon. Je suis déjà satisfait. Merci."

Bien sûr, Ducard ne l'aurait pas laissé partir si facilement. "Hé. Qu'est-ce qui ne va pas ? Tu vas partir comme ça sans lui dire bonjour ?" Il a affiché un sourire malicieux et a attrapé l'épaule de Victor.

 

"Je ne peux pas. Je ne peux vraiment pas. Tu l'as vue ? J'ai l'impression de rêver." Victor avait atteint sa limite après avoir vu Razé en uniforme scolaire. Son apparence correspondait à son âge lorsqu'elle portait un uniforme scolaire, et non un uniforme militaire. C'est à cela qu'elle était censée ressembler. La flèche de gap moe avait frappé le cœur de Victor. "Je ne peux pas faire ça. Je devrais revenir plus tard. Non, je dois renaître à nouveau."

 

"Arrête de dire n'importe quoi. Allons lui parler." Ducard l'a traîné sans pitié.

 

Bonalt se tenait sur le côté, observant Razé tout en écoutant leur conversation. Il a arrêté Ducard et a dit, "Attends. Regarde attentivement."

 

"Qu'est-ce que c'est ?" Ducard était perplexe. Puis, il a vu la personne qui marchait aux côtés de Razé et a finalement compris ce que Bonalt essayait de dire. "Le fils du Premier ministre... C'est encore lui."

 

Ducard et Bonalt se sont tus lorsqu'ils ont vu Adis se tenir à côté de Razé. Victor a regardé leur réaction puis s'est retourné pour regarder Razé et Adis. Soudain, il eut l'impression d'être frappé par la foudre. "Huh ! C'est possible ? !" Il a attrapé Ducard sous le choc. "Est-ce que ces deux-là sortent ensemble ?!"

 

 

Ducard se tourne vers Victor et lui dit de se calmer.

 

 

Bonalt : "Je n'ai rien entendu de Leader mais je me méfie de lui depuis le précédent tournoi".

 

Ducard : "Leader n'a pas l'air d'avoir d'intérêt à avoir une relation amoureuse. Ça doit être le gars qui a des sentiments pour elle."

 

Bonalt : "Ouais."

 

 

Victor était incapable de rester calme après avoir écouté leur conversation.

 

 

Bonalt : "... On va observer la situation ?"

 

Ducard : "Je suis d'accord. Nous devons clarifier cette affaire ici."

 

 

C'était une tournure inattendue des événements.

 

 

Victor n'était pas si clair sur la situation, alors il a commencé à avoir des idées folles sur la relation entre Adis et Razé et à se rendre triste. "Je ne suis toujours pas mentalement préparé à voir Leader devenir la femme de quelqu'un. Je veux encore apprendre beaucoup d'elle. Je ne veux pas qu'elle abandonne. Leader, ne me rejette pas~~~~"

 

Bonalt et Ducard : "Tais-toi !"

 

 

Les deux amis ont ignoré Victor, qui marmonnait toujours pour lui-même. Leur regard se fixe rapidement sur la cible. Bonalt est l'un des rares hommes à avoir une conscience au 537e régiment. Il considérait Razé comme une sœur, aussi était-il très sensible aux hommes qui l'entouraient.